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Encore un compagnon qui disparait !
19/04/2009 11:33
C’est encore une grande figure du Gaullisme qui a disparu ce 18 avril 2009 en la personne d’Yvon Bourges qui collabora activement à partir de 1961 au Gouvernement du Général De Gaulle. DLR 14ème circonscription adresse sa vive émotion à ses proches et aux habitants de Dinard, ville dont il fut longtemps le maire. Condoléance à sa famille et ses amis.
PW
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Dépeçage industriel à Florange avec la bénédiction de la Commission de Bruxelles
17/04/2009 18:40
J’étais ce matin à Florange sur le site sidérurgique d’Arcelor/Mittal qui vient de décider de fermer pour une période indéterminée les hauts-fourneaux.
J’ai pu rencontrer les représentants syndicaux qui, comme tous les salariés, sont inquiets. Cette fermeture est-elle temporaire comme veut le faire croire le groupe, où s’agit-il de la liquidation après Gandrange d’un fleuron de la sidérurgie française ?
Après les promesses non tenues du Président de la République qui était venu, souvenons nous en, sur place dire aux ouvriers « comme voyage de noces on fait mieux, je suis là car je ne vous oublierai jamais », on comprend leur écœurement. Toute parole publique est décrédibilisée car même le chef de l’Etat s’est révélé impuissant face au roi de l’acier Mr Mittal.
Quand on étudie le dossier, on est d’autant plus scandalisé que la filière sidérurgique de Lorraine est l’une des plus performante au monde pour les aciers les plus élaborés. En vérité, comme je l’avais dit dans l’indifférence générale à l’époque de l’OPA de Mittal sur Arcelor, la France, par naïveté, a laissé Mittal s’emparer d’une société renflouée avec les fonds publics qui bénéficiait de savoir-faire inégalés. Mittal a pillé ces savoir-faire et maintenant jette comme un kleenex les sites et les hommes qui les mettent en œuvre.
A l’époque, quand je demandais le blocage de l’OPA, le gouvernement m’expliquait que l’on ne pouvait rien faire car l’Union européenne nous aurait accusés de patriotisme économique excessif et nous aurions été condamnés par la Cour de Justice.
On entendait aussi à Bruxelles des commissaires expliquer que l’UE « n’a pas besoin de champions nationaux ni de champions européens, mais de groupes mondiaux présents en Europe » ! Nous avons sous les yeux le sens concret de ce que signifient ces politiques criminelles.
Le cas Mittal en est, à cet égard, emblématique : la multinationale indienne, après avoir fait main basse sur notre recherche / développement sidérurgique et tué un concurrent de taille, sacrifie les sites européens pour se redéployer vers d’autres contrées ou vers d’autres secteurs d’activités plus rentables.
L’Allemagne a été moins naïve en protégeant son industrie sidérurgique car elle avait compris que sa filière automobile a besoin de producteurs d’acier allemands.
Si le gouvernement laisse fermer définitivement les hauts-fourneaux de Florange, ce sont les 10 000 emplois de la filière en Lorraine qui disparaîtront à brève échéance. Ce serait criminel pour ce bassin industriel déjà exsangue d’emplois et qui ne pourra pas éternellement compter sur ceux qui sont offerts à Luxembourg, crise financière oblige.
Raison de plus pour défendre une autre politique industrielle à la fois nationale et européenne : - un protectionnisme raisonnable aux frontières de l’Europe, - des investissements massifs dans les filières de haute technologie, - un contrôle des OPA et la création de champions nationaux ou européens.
L’effort à fournir est considérable mais la France en est capable. Encore faut-il que ses dirigeants en aient la volonté ! Si Christine Lagarde s’était elle aussi rendue ce matin à Florange, elle aurait pu se rendre compte de la réalité de la situation… et au moins secouer son Cabinet ministériel pour qu’il réponde à une lettre envoyée par les élus locaux de Florange, restée sans réponse depuis plus d’un mois et demi.
NDA
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Blocus des ports du Pas-de-Calais : la France doit à nouveau exercer ses droits maritimes souverains !
15/04/2009 17:24
COMMUNIQUE DE PRESSE
Pêche : si l’UE ne change pas sa politique, la France doit négocier directement avec les pays maritimes d’Europe
Pas un mois sans que le scandale des quotas de pêche imposés par Bruxelles ne resurgisse dans l’actualité !
La réalité vraie est que Bruxelles a sacrifié les pêcheurs de l’UE dans un mauvais marchandage avec (par exemple) la Norvège, lâchant à ce pays pour le seul cabillaud des quotas annuels de 425 000 tonnes contre seulement 25 000 aux pêcheurs français ! Des cabillauds norvégiens qui se retrouvent ensuite dans nos commerces à des prix déloyaux !
Il est temps d’en finir avec les études pseudo-scientifiques bruxelloises et un système de prise de décision communautaire qui permet à une foule de pays qui n’ont pas de façades océaniques de décider pour la France, au détriment de son économie maritime et de son aménagement du territoire.
Soit l’accord de pêche avec la Norvège et d’autres pays comparables est revu conformément aux intérêts évidents de notre pays, soit la France doit s’exonérer unilatéralement de cette contrainte bruxelloise et négocier directement avec les pays concernés ses propres quotas.
Hélas, qu’on ne compte pas sur l’énergie de notre ministre de l’Agriculture, qui lâche toujours tout à Bruxelles dans l’espoir de se faire bien voir lors pour redevenir, le moment venu, Commissaire européen…
Les listes Debout la République pour les prochaines élections européennes sont aux côtés des pêcheurs pour que nos gouvernants fassent enfin leur travail !
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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La BNP a gagné le gros lot !
15/04/2009 10:11
Une information est passée inaperçue dans la presse… Il s’agit de la souscription par l’Etat et sans droit de vote de 17,03% du capital de la BNP ! L’Etat français est ainsi devenu le premier actionnaire de cette banque après une augmentation de capital.
Mais l’Autorité des marchés financiers précise bien qu’elle ne dispose cependant d’aucun droit de vote car il s’agit de 187 millions d’actions de préférence sans droit de vote, émises par BNP Paribas pour un montant de 5,1 milliards d’euros. La Grande Bretagne, les Etats-Unis, l’Allemagne même n’hésitent pas eux à devenir de vrais actionnaires !
La France de 2009 préfère verser l’argent du contribuable sans en contrôler l’usage ! C’est un véritable scandale dans une démocratie.
NDA
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Vin rosé : Michel Barnier doit s’expliquer !
14/04/2009 22:05
Toujours courageux jusqu’au bout lorsqu’il s’agit de justifier ses actes, il s’est ensuite rétracté lorsque l’opinion publique a eu connaissance d’une décision qui devait manifestement rester discrète.
Aujourd’hui, on apprend que la Commission européenne,face à l’opposition unanime des Français à cette hérésie gastronomique , repousse la date de la décision finale sur ce dossier, qui devait intervenir fin avril, au 19 juin ! Une « divine surprise » pour le ministre-candidat qui n’aura pas, ainsi, à répondre de décisions qu’il aura prises sans devoir les assumer face aux électeurs. Pourtant, n’est-ce pas le même Michel Barnier qui, en 2002 déjà, exhortait les gouvernants et les hommes politiques français en campagne électorale à se refuser à toute duplicité entre leurs discours à Paris et leurs actes à Bruxelles ?
« "Est-il utile de tromper le peuple ?" La question posée sans ambages par Frédéric II à Condorcet résonne comme un écho d’Ancien Régime, d’un siècle de despotisme plus ou moins éclairé, bien loin des exigences de transparence, de dialogue et de divulgation qui sont devenues les maîtres mots de notre vie publique. Et pourtant, à l’heure où candidates et candidats à la présidence de la République préparent calicots, arguments et ripostes, il est une sorte de secret dans le débat politique français. Un secret qu’hier ministre des Affaires européennes, aujourd’hui commissaire européen, il me semble d’intérêt général de livrer aux citoyens pour aider leur jugement. Ce grand secret, c’est d’abord et avant tout que la plupart des décisions que les candidats vont s’engager à prendre avec la confiance du peuple ne relèvent plus d’eux seuls. […] Pourquoi ce grand silence des femmes et des hommes politiques français, lorsqu’ils rentrent de Bruxelles ou de Strasbourg, sur ce qui y a été décidé et sur ce qu’ils y ont dit ? Pourquoi nous faudrait-il, à toutes forces et contre toute évidence, faire « comme si » la France décidait seule de tout, comme si reconnaître qu’elle a choisi de partager sa souveraineté serait pour elle abdiquer toute ambition ? » Michel Barnier, Le grand secret, Libération, édition du 12 février 2002.
Mais, bien sûr, à cette époque l’auteur de ces lignes pleines de vertu s’exprimait dans le confort feutré des offices bruxellois, où il était Commissaire européen (1999 – 2004) chargé des affaire institutionnelles…
Revenu dans la peau d’un ministre-candidat aux élections européennes, il semble bien que Michel Barnier ne veuille pas s’appliquer ces préceptes de bonne conduite par lui-même édictés à l’adresse de la classe politique française de l’époque. Mais, c’est bien connu, les leçons de morale, c’est bon pour les autres !
Le ministre-candidat doit s’expliquer et les Français se garder d’avoir la mémoire trop courte !
Demandons à Michel Barnier des explications !
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